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Lorsque l’on parle de plantes de suite l’on pense à celles que l’on pourrait offrir ou bien au jardin fleuri pour ceux qui en possèdent un; dans les deux cas c’est un cadeau, l’un pour autrui et l’autre pour soi-même avec des intentions évidemment différentes. Quand un homme offre des fleurs à une femme l’on devine alors qu’il a quelques sentiments pour elle et qu’il cherche à en affirmer l’intention ou à attirer l’attention, dans ce sens d’un plaisir des yeux et du parfum exhalé qui présuppose à d’autres plaisirs, de même le plaisir est aussi présent lorsque la fierté d’avoir un beau jardin est récompensée par la sérénité accomplie d’en profiter avec ses sens. C’est ici que s’arrête généralement l’idée que se fait le profane de la plante ou de la fleur, de l’arbuste ou du massif bien placé, pour autant les mentalités ont effectivement un peu évolué puisque l’on pourra ajouter le principe d’écologie qui fait appel au domaine végétal, un point de vue plus politique et plus actuel avec le réchauffement climatique et le besoin de protéger l’environnement, dont les espaces végétaux dont il n’est pas nécessaire de rappeler qu’ils dispensent aussi l’oxygène que nous respirons… Mais, passé ce petit tour d’horizon, c’est bien l’aspect ésotérique et magique qui nous intéresse aujourd’hui, ce dont peu de personnes se préoccupent vraiment hormis certains initiés et esprits alertes qui cherchent à comprendre.

L’étude des plantes ne date pas d’hier, déjà plusieurs millénaires avant notre ère les apothicaires de l’antiquité cherchaient les propriétés naturelles issues des végétaux comme remèdes aux maladies de l’époque, nous savons que les principes actifs des plantes sont de nos jours bien exploités par les industries pharmacologiques pour en recréer artificiellement en laboratoire les effets bénéfiques, avec en passant un dédain affiché (voire une hostilité déclarée) pour les phytothérapeutes et autres herboristes dont il ne reste que peu de représentants professionnels en exercice en occident. C’est en orient et plus principalement en Asie que ces principes actifs sont encore acceptés à partir des plantes et écorces avec un succès toujours égal à lui-même depuis l’aube des temps, tradition oblige et respect des ancêtres qui ont su transmettre cet héritage si précieux. Hormis les effets bénéfiques pour la santé les plantes se sont vu attribuée d’autres vertus plus ésotériques puisqu’il faut bien y venir, des effets ou plutôt des pouvoirs magiques parfois très puissants si l’on sait comment les utiliser avec la connaissance appropriée. Devons nous rappeler que la plante est le sel de la terre, qu’elle y puise tous les éléments nécessaires à sa croissance et à sa reproduction, qu’elle se livre une concurrence parfois acharnée avec ses voisines en utilisant des subterfuges chimiques dignes d’une guerre moderne, qu’elle a su développer depuis que le monde est monde son propre laboratoire interne avec le soutien d’une Nature qui lui a soufflé les meilleures molécules, les meilleures solutions sous la forme d’une extraordinaire multiplicité d’espèces génétiques viables.

La Nature représente une force primordiale essentielle dans l’esprit des initiés, elle leur a inspiré toutes les alchimies dont ils ont pu cogiter eux-mêmes leurs propres formulations du monde, dont ils ont su extraire des principes, actifs, passifs mais surtout philosophiques et métaphysiques pour en arriver à élaborer la Pierre Philosophale, véritable oeuvre au noir, "Oméga de l’Alchymie" des occultistes des siècles derniers. L’alchimie est donc la mère de la chimie moderne mais aussi de nombreux principes ésotériques et magiques qui se sont inspirés des lois de la Nature et de ses transformations, pour ne pas dire de ses transmutations. Citons pèle mêle quelques noms d’alchimistes importants comme Arnauld de Villeneuve, Raymond Lulle, Avicenne, Roger Bacon, Albert le Grand, et Paracelse le plus connu de tous. De par l’Alchimie c’est donc toute une Connaissance des aspects de l’Univers qui s’offre à celui qui en recherche les secrets à des fins d’évolution personnelle ou pour en faire profiter à autrui en "opérant", c’est-à-dire via des travaux, de magie il s’entend bien… Dans ce sens la plante, sel de la terre, se retrouve avec ses éléments constitutifs au coeur de cette étude, au coeur de cette oeuvre au noir, au centre de disciplines aussi ésotériques que la Kabbale (grande unificatrice des principes naturels, humains et célestes) ou même l’Astrologie avec ses symboles qui reprennent ceux des planètes liées à l’Alchimie par les mêmes lois naturelles et telluriques (puissance de la terre mais aussi de l’eau comme solvant universel, de l’air et du feu purificateur) et magnétiques (forces d’attractions et de répulsions, celles des éléments chimiques atomiques…).

Après le minéral c’est bien le végétal qui le premier accède au principe vital comme pierre élémentaire primordiale de la vie sur Terre en y puisant les ressources essentielles propres à l’Évolution et à la complexification du vivant. Ce même principe vital où la Nature est à l’oeuvre n’est rien d’autre qu’une énergie en transmutation dans la matière pour lui apporter "l’anima" qui lui donnera le germe de la Vie, il est donc important d’en révéler les forces, d’en puiser les propriétés à des fins de résolution de problématiques, d’en extraire la "Materia prima", en jonction entre l’inerte du minéral et le vivant que représente l’émergence de la plante qui a su capter cette énergie du Soleil (lien astrologique s’il en est). Les druides l’avaient bien compris, c’est en étudiant cette vie végétale si prolifique en formes que la Nature a pu mettre à disposition qu’ils en ont déduit des propriétés à la fois curatives pour le corps mais aussi très actives au niveau énergétique avec diverses propriétés intéressantes. Ce sont ces propriétés, alliées à des cérémonies qui en guident l’utilisation, que les druides ont pu les premiers se muer en sorciers effectuant des rituels avec les plantes et les écorces pour libérer une nouvelle matière plus subtile et condensée, le prana ou le mana, une énergie éthérique entre deux mondes, une énergie métaphysique à plusieurs niveaux vibratoires que l’on utilisera durant les rituels en l’orientant selon des buts très divers. Dans ce sens l’extrait de plante, c’est-à-dire la poudre séchée, l’essence purifiée ou bien sa décoction dans l’eau seront autant de manières d’opérer avec une base naturelle puissante pour justement orienter le rituel.

L’utilisation de fumigations (brûler des poudres de plantes, par exemple sous forme d’encens…), ou bien libérer les arômes d’essences de végétaux (huiles essentielles), ou bien encore préparer des philtres magiques à partir de ces mêmes éléments issus de la flore (dilution dans l’eau), voici une base puissante qui contribue à la bonne marche habituelle des rituels dont l’énergie sera empreinte de la volonté exprimée en y apportant sa propre orientation porteuse. Ainsi, et on le comprend mieux après ce long préambule explicatif, les plantes sont bien évidemment utiles pour les rituels de magie, et plus précisément pour les rituels d’amour puisque, là où l’énergie vitale s’exhale et se diffuse, une volonté d’attraction peut en utiliser le principe, l’orienter et le projeter, c’est ce que l’on appelle d’ailleurs un sort, il est lancé dans une direction et selon un but (directive) bien explicité durant le rituel. La liste est longue de ces plantes qui peuvent participer à l’élaboration d’un rituel d’amour, soit pour provoquer l’attraction (et par là l’acte sexuel), soit pour garder en bon équilibre un amour déjà existant (au sein d’un couple), soit pour augmenter une vitalité amoureuse (forcer la libido à s’exprimer), soit encore pour repousser une personne (répulsion), ou bien pour finir apporter la sérénité lors de crises dans le couple. Les principaux éléments végétaux (fleurs ou écorces) utilisés dans les rituels sont les suivants, ceci de manière non exhaustive car bien évidemment trop nombreux : le jasmin, le patchouli la cannelle, l’estragon, la violette, la fleur d’oranger et la vanille (attraction sexuelle), le bouleau, la gentiane, le gardénia, le sureau, la rose (protection du couple en amour), le poivrier, le vétiver, le gingembre, l’aneth (vitalité sexuelle et libido), citons aussi le millepertuis, l’acacia, l’angélique, l’armoise, le lilas, le basilic, le cumin, l’eucalyptus, le gui, la lavande, le trèfle, l’achillée (protection en général, des personnes et des lieux pour contrer les influences négatives et sorts, faciliter l’éveil spirituel).

J
’espère vous avoir ouvert l’esprit en ce qui concerne l’utilité des plantes comme vecteurs d’énergies nécessaires aux rituels, notamment pour les rituels de magie d’amour ou de retour de l’être aimé, voire aussi pour la protection du foyer et l’harmonie du couple. Si vous avez des questions ou besoin d’aide pour sauver une relation amoureuse ou si votre couple est en crise, n’hésitez pas à me joindre pour en discuter librement puis voir ensemble s’il est nécessaire d’effectuer un rituel ou des travaux complets afin de trouver des solutions à vos problématiques liées au domaine de l’amour. Vous pouvez me téléphoner au 06.75.79.02.91 ou bien m’écrire sur mon site via mon formulaire en cliquant ici. Je vous dis à très bientôt et n’oubliez pas d’offrir des fleurs aussi en toutes circonstances  lorsque vous pouvez le faire !

Maria do Carmo
 

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